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PANURGE

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Le géant Pantagruel rencontre en chemin, à l’orée d’une ville, un jeune homme couvert de poussière et dépenaillé.
L’inconnu va l’accueillir en quatorze langues, dont trois imaginaires…
«Myn Herre, endog jeg med inghem tunge talede, lygesom boen, ocg uksvilig creatner!»
«Je crois que les Gothz parlaient ainsi... dit Pantagruel. Et si Dieu voulait, ainsi parlerions-nous du cul!»
Quand Panurge s’adresse à lui en français, Pantagruel choisit d’en faire sur l’heure son compagnon «et il l’aima toute sa vie!» écrit Rabelais.
Panurge et Pantagruel, le fils du géant Gargantua, ces deux figures d’épopée ont traversé l’Histoire, et elles accompagnent la quasi-totalité de la geste romanesque rabelaisienne.
Puissance et enchantement. François Rabelais nous peint de faux être démesurés, car leurs frasques, leurs aventures inouïes ne sont que des allégories de nous-mêmes, « frères humains» les pieds dans la tourbe, le nez dans les étoiles!

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Une création de la Compagnie Mala Noche, Besançon , dans le cadre du Festival de Caves 2017 .

 

Extraits du «Tiers Livre» , du «Quart Livre» et de « Pantagruel» par François Rabelais.

 

Adaptation et mise en scène : Simon Vincent. Jeu : Luc Schillinger

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